Une mobilisation pour garantir l'information sur le prix du vif

Durant cette crise inédite du Covid-19, outre la protection des populations vis-à-vis du virus, la sécurité alimentaire du pays est devenue l'une des priorités nationales. Ainsi, par l'arrêté du 14 mars 2020, le ministère de l'Agriculture a confirmé que les activités agricoles n'étaient pas concernées par les restrictions d'activité. Les marchés aux bestiaux n'ont donc pas été soumis à fermeture obligatoire au niveau national. S'agissant de lieux de rassemblement, en revanche, ils ont subi des restrictions quant au nombre de personnes qu'ils pouvaient accueillir et ils ont dû parfois obtenir l'accord de la Préfecture pour se maintenir ouverts. Certains ont été interdits par leur Préfecture.Dans ce contexte, les marchés ont déployé toutes les mesures nécessaires afin de maintenir leur activité tout en assurant la protection de leurs salariés et de leurs opérateurs : port du masque, mise à disposition de gel hydroalcoolique, pose de plexiglas aux bureaux d'accueil, interdiction d'entrée aux visiteurs, distanciation, réorganisation du flux d'animaux et de personnes dans l'enceinte du marché, etc... Ils ont mené les analyses de risques qui s'imposaient en lien avec leur DDP...
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